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Sébastien Monod

Lauri traverse une mauvaise période. Son mari est dans le coma suite à un accident de la route, ses deux enfants adolescents « tournent mal » et lui-même rencontre de sérieuses difficultés au travail avec son supérieur hiérarchique. Un jour, après avoir rendu visite à son époux à l’hôpital, Lauri, au bord du désespoir, ressent le besoin de se confier à quelqu’un, il décide de rendre visite à son meilleur ami. Hélas, celui-ci est absent. Lauri erre dans les rues de Paris. La nuit arrive, il n’a pas la force de rentrer chez lui. Surpris par la pluie, il grimpe sur l’échafaudage d’un immeuble en travaux pour trouver refuge et s’endort, épuisé. Mais il est repéré par l’un de ses occupants qui appelle la police. Quand cette dernière surgit, Lauri, dans un demi-sommeil, pense être agressé et se défend. Les policiers le jugent dangereux et l’emmènent au poste, puis dans un établissement pour personnes présentant des troubles psychologiques. Commence alors pour lui une lente descente en enfer…
Librement inspiré de faits réels.
Format Broché : 168 pages à 16,50 euros
Format numérique disponible à 5,49 euros
ISBN 978-2-493402-14-1
16,50€
Lauri traverse une mauvaise période. Son mari est dans le coma suite à un accident de la route, ses deux enfants adolescents « tournent mal » et lui-même rencontre de sérieuses difficultés au travail avec son supérieur hiérarchique. Une succession d’évènements le conduit, contre son gré dans un établissement pour personnes présentant des troubles psychologiques. Commence alors pour lui une lente descente en enfer…
Librement inspiré de faits réels.
Chantal –
Aurélien est un homme d’une grande beauté, une blondeur extrême des Vikings, avec yeux bleu clair Scandinave. Le problème, c’est qu’il est hospitalisé depuis quelques semaines suite à un accident et qu’il se trouve dans le coma.
Son mari Lauri est complètement dévasté, il doit s’occuper de ses adolescents (Aurélien est le beau-père.), son fils Louis âgé de 17 ans et sa fille Justine 15 ans, doit continuer à travailler, tout en continuant de s’occuper de son mari, ils sont ensemble depuis 18 ans. Heureusement, son meilleur ami Alex est là pour l’écouter.
En soir, en sortant de l’hôpital, il est nerveusement épuisé. Il se retrouve poursuivi par des personnes qui veulent lui ont demandé de l’argent qu’il n’a pas, car il a tout laissé et oublier à l’hôpital. Il trouve refuge sur un toit terrasse, il décide de descendre au quatrième étage d’un échafaudage parce qu’il se retrouve trempé par la pluie. Finalement, il finit par s’endormir de fatigue. À son réveil, une mauvaise surprise l’attend, les employés du chantier ont appelé la police qui l’a emmené au poste après l’avoir maîtrisé.
Après une nuit chaotique, il est emmené et enfermé contre sa volonté dans un asile psychiatrique pour soi-disant quelques semaines, car il souffrirait de troubles psychotiques alors qu’il est juste épuisé. De plus, on lui donne des traitements sans son accord, il est obligé de les prendre et de manger, sinon il a la menace de la seringue.
Qui va s’occuper des enfants ? Combien de temps Lauri va-t-il être enfermé ? Quelles seront les conséquences de cet enfermement forcé ? Aurélien, va-t-il sortir du coma et gardera-t-il des séquelles ? Comment tout cela va-t-il se terminer ? Venez lire et vous saurez.
Cette histoire est touchante et criante de vérité, car elle est tirée de faits réels.
SEVERINE Desrues –
J’ai énormément apprécié ce tête à tête avec le héros et sa ‘déshumanisation’ brutale dès lors qu’il franchit les murs d’un hôpital psy. Un personnage auquel tout un chacun pourrait s’identifier un jour…Notre fragilité c’est aussi ce qui fait notre humanité. Le récit nous tient en haleine jusqu’au dénouement et mène à une réflexion sur les mécanismes du cerveau qui dans des situations extrêmes est amené à occulter certains faits. Un « mode » survie?
Ce livre il faut trouver le moment opportun pour s’y plonger, il n’est pas de ceux dont on lit un chapitre par jour dans le métro (sans critique aucune pour ceux qui le font puisque cela fait partie de mes pratiques) avec en trame de fond le bruit des portes qui s’ouvrent et se ferment sur le flux des passagers. Pour le sujet: il est question d’internement forcé, et rapidement on ressent le besoin presque physique de s’isoler par empathie avec le personnage principal. Aussi pour les mots: par respect pour l’auteur dont on saisit rapidement qu’il met un point d’honneur à ciseler chacune de ses phrases tel un orfèvre de la littérature.
Coma est un superbe roman, je lui souhaite un joli succès. Une longue carrière à l’écrivain Sébastien Monod.